L’Adami est gérée par et pour les artistes depuis plus de 50 ans, elle perçoit et répartit les droits des comédiens, des danseurs solistes et, pour le secteur musical, ceux des artistes-interprètes principaux : chanteurs, musiciens solistes et chefs d’orchestre pour la diffusion de leur travail enregistré.
En 2013, elle a réparti 46,4 millions d’euros à plus de 60 000 artistes.
Elle favorise le renouvellement des talents et consolide l’emploi artistique au moyen de ses aides à la création, à la diffusion du spectacle vivant et à la formation professionnelle des artistes.
En 2013, elle a soutenu 904 projets artistiques et financé 9 opérations d’accompagnement d’artistes produites par l’Association artistique de l’Adami pour un budget total de 11,8 millions d’euros.
Elle agit pour développer les droits des artistes-interprètes : elle se mobilise pour faire évoluer les législations nationales, européennes et internationales en leur faveur.
les droits des artistes-interprètes
L’Adami gère les droits de propriété intellectuelle des artistes-interprètes dans trois cadres juridiques :
Les licences légales, exceptions au droit exclusif « d’autoriser ou d’interdire » : la rémunération équitable et la rémunération pour copie privée sonore et audiovisuelle.
des rémunérations complémentaires en faveur des artistes interprètes dans le cadre d’accords collectifs et spécifiques conclus dans le secteur audiovisuel (accord dit « cinéma » , conventions collectives de la télévision, accord pour les artistes-interprètes de doublage dit « DAD-R »),
d’accords de représentation signés avec des sociétés de gestion de droits des artistes-interprètes étrangères.
L’Adami : un professionnel de la répartition des droits
Chaque licence légale, rémunération équitable, copie privée sonore et audiovisuelle, fait l’objet d’une perception et d’une répartition qui lui est propre.
L’Adami s’attache à rendre toujours plus performante et transparente la répartition des droits perçus. Ce suivi constant a permis l’augmentation du nombre d’artistes-interprètes rémunérés et l’amélioration des volumes de perceptions.