Lorsque à la fin de l’année 1995, l’association Paroles de théâtre nous a demandé de créer la revue Cassandre, devenue Cassandre/Horschamp, nous la pensions comme une agora de papier et une vraie utopie en actes. Un service public, certes modeste, mais réel, de l’information culturelle autour de l’action artistique. Puisque nous ne voulions pas être rentables, il fallait être soutenus par les institutions de ce pays et, depuis le ministère de Catherine Trautmann, nous l’avons été.